mercredi 5 décembre 2007

La vie chère au Bénin : située les responsabilités

Chers amis de la presse béninoise ,
Il faut vous aimer en aidant le pays, votre comportement est suscidaire et dangeux .
Vous n'avez pas l'habitude d'être critiqué de ce façon , mais chers amis chers collègues . l'heure est grave.
Avez-vous bésoin de faire Havard , Sorbonne ou Oxford , pour comprendre que la pénurie des produits vivriers et céréaliers au Bénin est le résultat d'une campagne médiatique aveugle sur la promotion de coton?
Faites vous même vos propres examens de conscience.
Lorsque certains de nos collègues vantaient les méritent du Pasteur-Dr-Président entrain de labourer des champs de coton dans le nord, eh oui ,c'est une manière claire de démotiver les autres paysans qui ne font pas du coton qui n'ont ni subventions ni engrais .
Lorsque vous exciter par vos écrits à la surproduction du coton , ne pensiez  vous pas qu'il faut manger?
Qui parmi vous à oser demander au gouvernement de faire une politique équilibrée?
Alors ce qui se passe aujourd'hui est le résultat d'une mauvaise politique agricole que vous avez cautionné par vos propagandes.
C'est comme la cigale et la fourmi.
Yayi boni ayant labouré les champs de coton ,tout le temps , il n'a qu'à maintenant les manger.

NB: Les voisins ont aussi des bésoins en produits céréaliers , il ne faut pas demander aux pays qui n'ont pas été soutenus au cour de l'année de vendre leur produits moins chers sur le marché béninois.
Une fois encore vous avez un rôle d'investigation à faire que de critiquer tous ceux qui pensent autrement.
Cordialement

Lisez ce qui suit pour vous rendre compte de vos inerties.A bon entendeur ....
Si cette provocation peut vous reveiller alors tant mieux pour le peuple béninois sinon vauge la galère...



Forte spéculation sur les produits de grande consommation : Faire le procès des associations de...
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Écrit par La Nouvelle Tribune du 05/12/2007   

La forte spéculation  qui s'observe depuis quelques jours sur des  produits de première nécessité, interpelle, outre le gouvernement, les associations de consommation   qui...

Forte spéculation  sur les produits de grande consommation : Faire le procès des associations de consommateurs.

 

La forte spéculation  qui s'observe depuis quelques jours sur des   produits de première nécessité, interpelle, outre le gouvernement, les associations de consommation  qui peinent à  jouer véritablement leur rôle dans  la défense des droits du consommateur béninois.   Les prix excessifs tant décrués  constituent sans   la résultante de leur inefficacité  sur le terrain.

 

Les associations  nationales des consommateurs  devraient être entrain de    se poser  mille et une questions en ces  moments de forte spéculation  sur le marché local.  Ont-elles réellement   fait leur travail depuis qu'elles existent  dans la perspective  d'épargner les  consommateurs  béninois d'une telle situation ?   Quelles actions  ont-elles  pu  mener  jusque-là  à l'endroit des autorités étatiques   dans la mise en œuvre d'une bonne politique  de stabilisation des prix de des produits sur le marché ? Autant  d'interrogations  qui restent sans réponses face    à la grande flambée   auxquelles  font difficilement  face les béninois des villes et des campagnes depuis quelques jours.  Beaucoup de béninois attendaient de la part  de ces associations des réactions  énergétiques, à la mesure de la situations mais restent  encore sur leur faim, car celles-ci continuent de se murer dans un silence coupable, mises   à part quelques  grognes sporadiques de  certains acteurs sur des radios de la place.

 Malgré qu'elles soient mandatées pour la défense des  consommateurs, les associations  semblent aujourd'hui beaucoup plus préoccupées par d'autres activités  qui les écartent  davantage de  cette noble mission. Les résultats sont là aujourd'hui, et démontrent aisément qu'elles ne servent plus à grand chose. Sous d'autres cieux,  plusieurs associations de consommateurs seraient  descendues  des les rues   des villes et campagnes du pays pour  protester contre cette flambée, en appelant le gouvernement à prendre ses responsabilités.  Mieux encore,  elles  auraient pu  initier et organiser des sorties médiatiques (conférences  de presse,  débat télévisé communiqués de presse) pour   attirer l'attention de l'opinion publique nationale et  internationale sur la situation. En  leur qualité   d'associations  de consommateurs, elles doivent  pouvoir également  fournir  aux consommateurs, les vraies  raisons  qui sous-tendent une   telle spéculation et leur présenter les actions qu'elles entendent entreprendre pour   la combattre. Mais  c'est plutôt le silence radio dans leur rang ; ce qui     amène certains  à se préoccuper  des motivations profondes de ces associations    de consommateurs  qui continuent t de représenter les béninois dans de grandes instances   de prise  de décisions tant nationales  qu'internationales. 

 

Christian Tchanou



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